vendredi 31 décembre 2021

Videokonferenz zwischen Pullach & Pauillac

 In der letzten Woche vor den französischen Schulferien haben wir uns zumindest virtuel in Lesparre und hier in Pauillac kennengelernt...
Viele Weihnachtspäckchen wurden zwischen Pullach und Pauillac versandt.

 



Wenn es Corona nicht gäbe, wären wir im Dezember in München gewesen...

... und hätten unsere Austauschschüler kennengelernt! 

Wir hätten das Otfried Preußler Gymnasium in Pullach jeden Morgen besucht und wären sicherlich in den Olympiapark gegangen. Unsere Austauschschüler hätten uns die Innenstadt von München gezeigt. 

Die Stornierung 48 Stunden vor Abreise auf Grund von Coronafällen in den deutschen und französischen Schulen war sehr traurig, aber aufgeschoben ist nicht aufgehoben!

 

    




 




 

vendredi 3 décembre 2021

EURO 2021 - (Fast) 1 Woche in München

                                                                         EURO  2021

4 Schüler:innen des Gymnasiums "LGT Lycée Odilon Redon" Pauillac  &  Lesparre
              haben mit 6 Schüler:innen des Gymnasiums in Villeneuve sur Lot 
bei einen Schreibwettbewerb des DFJW (Deutsch-französischen Jugendwerks)
 eine Reise nach München gewonnen!

In München lernen sie endlich ihre 10  deutschen Partner:innen kennen,
die auch an dem Wettbewerb
rundum den Comic "Ossi, une vie pour le foot"  teilgenommen haben. 
Das erste Treffen hat virtuel im "Goethe Institut Bordeaux" und im "Institut Français" in München stattgefunden.

Jede Gruppe besteht aus 5 Mädchen & 5 Jungen (eine Bedingung des DFJWs)

(Fast) eine Woche mit vielen Abenteuren und mehreren persönlichen Treffen mit dem Fußballstar Gernot Rohr! 
Organisiert von den Vereinen "Lernort Stadion e.V." und "Rue de la Mémoire" und finanziert durch das DJFW - OFAJ.

Wir danken!

Leider musste die französische Gruppe vorzeitig abreisen, weil ein Covid+ Fall
 in der deutschen Gruppe vorfiel.  

Anthony zeigt seine Bilder: 



Ein Fußballfeld über den Dächern von München

Auf der Reise - unterwegs. Aber wo, Anthony?

Anthony mit Gernot Rohr! 



lundi 18 octobre 2021

EURO 2021 - Une semaine à Munich...ou presque

                                                                    EURO  2021

4 lycéen.ne.s du LGT Lycée Odilon Redon Pauillac et Lesparre
avec 6 lycéen.ne.s de Villeneuve sur Lot 
gagnent lors d'un concours d'écriture un voyage à Munich. 

Ils y rencontrent enfin leurs homologues en vrai, 10 jeunes allemand.e.s qui ont participer au même concours sur la BD "Ossi, une vie pour le foot"*
Chaque groupe comptait 5 filles & 5 garçons (l'équité exigée par l'OFAJ)
La première rencontre a eu lieu en visio depuis l' "Institut Goethe" à Bordeaux et l' "Institut français" à Munich. 

Une semaine (ou presque) plein d'aventures et plusieurs rencontre avec Gernot Rohr!

Organisé par les associations  "Lernort Stadion e.V." und "Rue de la Mémoire" et financé par OFAJ-DFJW.

Un grand MERCI! 

Hélas, à cause d'un cas Covid+ le groupe a dû rentrer en France précipitamment. 

* la BD est disponible aux CDIs du Lycée Odilon Redon à Pauillac & Lesparre

Un heureux gagnant raconte ses périples: Pierrick Gissou, classe de 1ère au LGT Lesparre (33)

6 Lundi 18 octobre :

J'arrive à la gare de Lesparre vers 7h. L'occasion pour moi, en attendant le train, de discuter avec un ami, que je n'avais pas vu depuis un moment et qui prenait le même train que moi, et avec mes parents, avant de leur dire au revoir. Je monte dans le train vers 7h20, attendant Lilou, Anaïs et Anthony, mes 3 compères de Pauillac. Cela tombe bien puisque le prochain arrêt est Pauillac. Je les retrouve donc, mais ne trouvant pas 4 places assises, nous nous retrouverons debout dans le train durant tout le voyage. Preuve que Munich, ça se gagne...
Arrivés à Bordeaux vers 9h, nous saluons Mme Escure, qui s'est déplacée spécialement pour s'assurer du bon déroulement de ce voyage. Avant de rencontrer Mme Dreyer et de revoir nos 6 homologues villeneuvois (Mathias, Malo, Maxim, Camille, Nelly et Amélyne), 4 mois quasiment jour pour jour après notre rencontre. Nous attendons tous ensemble Gare Saint-Jean le train qui va nous mener à Paris. Le TGV entre en gare près d'une heure plus tard après notre arrivée et va partir aux alentours de 10h15. 12h31, nous arrivons Gare Montparnasse. Nous descendons et attaquons un périple de plusieurs minutes entre escaliers, escalators et couloirs plus ou moins étroits pour prendre le métro. Mais malheureusement une fois arrivé à la station, le groupe se retrouve divisé en deux : trois qui réussissent à prendre le métro et les huit autres se retrouvent à quai. À titre personnel, je me retrouve dans le deuxième groupe et dans une situation d'autant plus stressante que je vais devoir attendre pendant 15 minutes le train. À l'arrêt Gare de l'Est, les membres du groupe parti avant nous attendent et, sitôt retrouvés, nous nous empressons de remonter à la Gare de l'Est. Mais là encore, les choses ne vont pas se dérouler comme prévu. En effet, le train que nous devons prendre part dans 5 minutes et c'est la panique : nous ne savons pas par quelle porte rentrer avant de se rendre compte... que ce n'est pas le train que nous devons prendre ! Tout le monde s'eparpille, court partout pour avoir les infos pour ne pas rater le train. Nous finissons finalement par avoir l'information capitale, et tout le monde se met à courir du plus vite qu'il peut. Le stress se fait ressentir à l'attente des dernières personnes mais au final, nous réussissons tous à prendre ce train en direction de Stuttgart à 13h47.

       


Après les arrêts à Strasbourg et à Karlsruhe, nous avons les yeux rivés sur les écrans présents dans le train qui indique l'heure d'arrivée. L'hypothèse de devoir prendre le train qui nous mène à Munich avec 2 heures de plus que ce qui était prévu devient de plus en plus possible. Finalement, sur la fin du trajet, on apprend que le train va arriver plus tôt que prévu et, dans le même temps, qu'il est possible de prendre celui qui doit nous transporter à Munich. Il va falloir néanmoins se dépêcher, sans pour autant adapter le rythme effréné pris à Paris. C'est ce que nous faisons après avoir étudié la direction de la voie à prendre. L'objectif est atteint : nous allons pouvoir rejoindre Munich en temps et en heure, ou du moins, nous allons pouvoir être plus ponctuels que ce que les précédentes péripéties pouvaient laisser prévoir... Après avoir admiré le paysage puis s'être ennuyé, nous descendons à Munich et retrouvons Ludovic et Julie qui nous attendaient à la gare. Nous nous saluons, parlons, rigolons et partons en direction de la ville quand soudain... Mathias se rend compte qu'il a oublié dans le train son sac ! Le trajet aura donc été mouvementé jusqu'au bout... Après un moment entre éclats de rire et panique, Mathias va réussir à le récupérer auprès d'un des contrôleurs présents en gare. Nous pouvons enfin repartir et prendre le métro, bien moins bondé qu'à Paris, afin de rejoindre l'auberge de jeunesse. Sitôt arrivés, nous devons nous plier à l'épreuve des tests antigéniques (bon appétit...) Personne n'est positif et nous pouvons enfin prendre un dîner bien mérité aux côtés de nos homologues allemands. À la fin du repas, Ludovic et Moritz, ainsi que le reste de l'équipe éducative, se sont présentés et nous ont fait un briefing. Ce dernier comprenait les règles de vie en vigueur durant la semaine, le rappel des gestes barrières pour éviter l'isolement de 14 jours en Allemagne et, brièvement, le programme du lendemain. Enfin, je vais dans ma chambre que je partage avec Maxim. Nous discutons un petit peu, puis nous nous endormons, épuisés de cette journée très dense...


Von Himmel bis zur Erde ist die Schönheit gleich 

Mardi 19 octobre :


Le réveil fut matinal (6h50 pour moi) malgré la journée très chargée qui a précédé ce repos. Et pour cause le rendez-vous est pris à 8h pour faire les tests antigénique (tous négatifs bien sûr) et pour, ensuite, prendre le petit-déjeuner. Apres cela, direction l'Olympiapark pour faire, en premier lieu, les fameuses activités initialement prévues pour hier soir (logiquement reportées étant donné la fatigue de tous les participants à ce moment) Celles-ci ont consisté à se présenter aux plus de participants allemands possible et à faire découvrir le vocabulaire footballistique en allemand. Julian Voloj, l'auteur de la BD sur Oskar Rohr qui est venu spécialement de New York pour l'occasion, a pris le relais. Il a présenté un diaporama sur le roman graphique, sa spécialité, et sur tout ce qui l'englobe (son processus, ce qui la compose...)
Nous prenons une pause pour le déjeuner qui nous avait été distribué avant d'enchaîner avec la visite d'une partie de l'Olympiapark : et pas n'importe laquelle. Car, en effet, après nous avoir conté quelques anecdotes trépidantes, Moritz nous a emmené, dans l'ordre, dans un petit musée du stade, dans les tribunes V.I.P et sur la pelouse. Après quelques photos, nous reprenons place dans notre QG où nous écoutons Simon faire la présentation de l'association Kurt Landauer dont il est le président. Nous savons tous qui est Kurt Landauer puisqu'il est un personnage clé dans la carrière d'Oskar Rohr. Il a été président du Bayern Munich avant d'être déporté car il était juif. Il nous explique en quoi consiste l'association et quelles actions ils mènent. Suite à quoi nous reprenons ensuite l'activité présentée précédemment par Julian Voloj. Elle consiste à créer une BD sur le thème de notre choix. Mathias, Malo et moi-même, inspirés par l'intervention de Simon, nous décidons de partir sur une histoire sur une interview de l'association. Ce dernier se prête au jeu de la photo à l'intérieur de la salle et dans l'Olympiapark, où nous avons eu l'autorisation de passer quelques instants poir un shooting. Ce moment sera un peu prolongé à cause d'une porte fermée et nous nous plongeons avec Simon dans une visite improvisée du stade. Après être enfin rentré, je repars à l'Olympiapark pour, cette fois-ci, escalader son toit. Après et pendant quelques instants de présentation du stade et de l'histoire de sa construction, nous effectuons cette activité qui s'est avéré être un véritable bonheur pour moi... En effet, je n'ai pas eu le vertige : au contraire, j'étais trop occupé à admiré le paysage munichois et  la chaîne des Alpes en fond.
Après un retour rapide pour ranger la salle dans laquelle nous sommes restés cette journée, nous avons tous dîner, allemands et français à la même table, dans un restaurant proche de l'Olympiapark. Pour ma part j'ai pris une currywurst avec des frites, qui bien que très épicé était succulent. Ce repas a permis de nous rapprocher les uns des autres, j'ai pu parler et rigoler avec de nouvelles personnes malgré la communication limitée. C'est un fait auquel je peux parler, je suis sûr, au nom de tout le monde. En cherchant la station de métro nous nous sommes perdu ce qui nous a laissé profiter de faire une courte visite non prévue de Munich. Nous finissons par retrouver cette fameuse station et pouvons donc rentrer à l'auberge de jeunesse. Arrivés, nous avons écouter le debrief concernant la journée de demain avant d'aller à nos chambres et de se reposer avant la journée de demain !

Gernot Rohr und ein Bewunderer

Mercredi 20 octobre :

Réveil matin, 7h, je me réveille comme une fleur avant d'aller faire le rituel du test antigiénique, qui était, pour ma part, négatif. Mais ce n'était pas le cas d'un de nos homologues allemands... Pour l'heure, néanmoins, le programme du jour n'est pas remis en question donc nous pouvons manger l'esprit léger. Après avoir pris le désormais traditionnel métro, nous marchons pour arriver à l'endroit prévu : l'Institut français de Munich. Ici, chaque groupe présente son travail effectué la veille devant, entre autres, Julian Voloj et Gernot Rohr. Ensuite, nous avons assister à un nouvelle conférence de Julian Voloj qui portait, cette fois-ci, sur la BD "Ossi, une vie pour le football" sur son histoire, son origine, sa conception etc. 

Après avoir pris notre repas, on me propose de m'interviewer pour parler de mon avis, de mes sensations concernant ce projet, proposition que j'accepte. Je rejoins ensuite un petit groupe, encadré par des membres de l'équipe éducative. Je vais alors avoir la surprise de découvrir un bout du mur de Berlin et aussi... un spot de surf en plein Munich. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que les surfeurs sont aux rendez-vous et les spectateurs aussi.
Mais nous devons quitter ce spectacle hypnotisant et nous devons retourner à l'Institut français. Là-bas nous attend Gernot Rohr qui doit animer une "Table ronde" dans laquelle il va parler de son grand-oncle, thème sur lequel nous avons pu lui poser des questions. Mais cette conversation a assez vite dérivé vers une "conférence de presse" concernant sa carrière aux Girondins de Bordeaux puis vers une "séance photo". Pour ma part, en tant que supporter des Girondins de Bordeaux, je n'ai pas hésité à me mêler à cette conversation et j'ai eu l'occasion d'avoir ma photo avec Gernot Rohr ce qui est un véritable honneur pour moi.
Pour nous rassasier après cette dure journée, l'organisation nous a concocté un repas aux petits oignons. Les pizzas commandées arrivent et nous nous empressons de les manger à l'intérieur de l'Institut français. Puis est venu le moment tant redouté : celui de l'annonce du tournant que va prendre ce projet. Et malheureusement, on nous annonce que, suite aux risques de cette situation et de la tournure qu'elle peut prendre, le projet va prendre fin prématurément. Il a été décidé que le groupe allemand allait partir demain matin et que nous, le groupe français, allons partir vendredi. Mais le programme de jeudi est quelque peu modifié avec notamment, l'annulation de la visite du camp de concentration de Dachau. Mais là n'est, à cette instant, pas la tristesse de toutes les personnes présentes ici. Cela fait seulement deux jours que nous avons démarrer les activités et autant de jours que nous avons vraiment appris à connaître nos homologues allemands et nous devons déjà nous quitter. Tout le monde ou presque verse ses larmes, essaye de se rassurer/de rassurer les autres comme il peut même si il est difficile à cet instant d'avoir quelconque réaction ou pensée censée. Nous saluons donc le groupe allemand, qui part avant nous en bus, puis nous partons après quelques minutes qui ont paru être une éternité. Le métro qui nous ramène à l'auberge de jeunesse nous berce. Nous sommes toujours dans des sentiments nostalgiques, parfois dans des pensées pessimistes, mais nous sommes entre nous, soudés, et c'est bien ça qui compte. Arrivés, à l'auberge de jeunesse, nous nous sommes installés dans notre chambre avant de prendre un repos bien mérité pour attaquer une journée dont nous ne connaissons pas le contenu.

Jeudi 21 octobre :

Le réveil tout aussi matinal a pris une autre saveur, amère : après avoir fait nos tests (négatifs pour tout le monde) et pris notre petit-déjeuner, nous devons dire au revoir à nos homologues allemands. Le coeur est lourd de chaque côté et nous avons du mal à nous quitter. Après une dernière photo commune, le groupe allemand part, quelques minutes avant que l'on fasse de même. Une fois n'est pas coutume, c'est par le métro que nous nous déplaçons pour rejoindre l'endroit convenu, ici la place centrale de Munich. Nous avons droit à un quartier libre de deux heures où il est question, pour nous tous, de shopping et d'achats de souvenirs puisqu'ils suffit de quelques pas pour se retrouver dans les rues commerçantes. Ce quartier libre terminé, nous nous retrouvons au point de rendez-vous fixé auparavant avant de reprendre... le métro afin de nous rendre à l'endroit prévu. Là encore, c'est une surprise : l'endroit où nous allons est inconnu pour moi. Et quelle surprise... Nous sommes à Bahnwärter Thiel, un lieu alternatif, où les graffitis, les stickers et les bâtiments à base de matériaux récupérés façonnent un paysage. Je tombe littéralement sous le charme et, cerise sur le gâteau, le wrap qui consiste le déjeuner est délicieux. Et à ma grande joie, ce n'est pas la seule chose qui est prévu à Bahnwärter Thiel. En effet, cette après-midi : c'est atelier graffiti. Et même si le mien est raté, le début d'après-midi est réussi et cela donne envie de faire la suite de la journée. Malheureusement, l'ambiance de la suite du programme est bien différente puisque c'est l'heure des tests antigiéniques. Ça fait mal mais je suis négatif (fait que je vais apprendre plus tard) donc tout va bien. Une bonne idée en chassant une mauvaise, des bruits de couloirs m'informent que nous allons faire du foot... sur le toit d'un immeuble ! Cela se confirme avec en plus, Gernot Rohr et Julian Voloj qui nous on fait une surprise en étant présents avec nous. Gernot Rohr a même participé à un "toro" avec nous et a arbitré le match qui a eu lieu juste après. Nous devons sortir de cette parenthèse enchantée et devons retourner à l'auberge. Nous rentrons donc plus tôt que d'habitude mais ce n'est pas une raison pour traîner... En effet, nous devons être prêts pour 5h30 demain. Le temps donc de manger en vitesse le dîner proposé dans la cantine de l'auberge et de se coucher avant une journée importante qui promet de réserver de nombreuses surprises...

                

Ein Haufen glücklicher Menschen 

Vendredi 22 octobre :
Si les réveils précédents étaient difficiles, je risque bien de me rappeler longtemps de celui-là... En effet, c'est bien à 4h50 que je me suis levé pour me préparer afin d'être prêt pour cette journée déterminante, la journée du départ. Comme dit précédemment, nous nous réunissons à 5h30 pour faire les derniers préparatifs afin de quitter l'auberge et de rentrer chez nous bien comme il faut. Départ ne signifie pas changements d'habitude et c'est bien encore pas métro que nous prenons pour aller à l'aéroport de Munich. Au bout d'un trajet d'une heure, nous arrivons à l'endroit voulu qui est la seule solution pour rallier Munich et Bordeaux (à cause des grèves, nous ne pouvons en effet pas prendre le train comme à l'aller). Ce trajet va se faire en deux temps car l'avion va faire une escale à Bruxelles. Pour l'heure, c'est donc au pays des frites, de la bière et du seum que nous allons atterrir. Mais comme lundi, avant de monter dans l'avion, tout ne s'est pas passé comme prévu : mon billet n'est pas passé lors du premier contrôle. Et à quelques minutes du départ, on s'aperçoit à l'embarquement que mon billet, pourtant nominatif, est en fait celui de Maxim et vice-versa. Ce problème est finalement réglé et nous pouvons embarquer dans l'avion. Pour ma part, c'était seulement la deuxième fois que je prenais l'avion et la première fois était il y a plus de 3 ans. Mais le décollage ne m'a pas perturbé et je me suis même endormi au bout de 5-10 minutes jusqu'à l'arrivée à l'aéroport de Bruxelles. Arrivés, nous sommes partis pour 5h de quartier libre approximativement : notre avion ne décolant qu'à 15h30. Nous avons donc droit à un quartier libre (où je vais pour ma part faire le plein de souvenirs). La Belgique s'offre donc à nous et cela se voit bien : les restaurants gastronomiques présents ici étant Quick et Panos. D'ailleurs, ce quartier libre est coupé par une pause déjeuner dans le premier fast-food cité. Puis, nous continuons notre pause qui va me faire voir qu'il y a bien des choses à voir et des rencontres à faire dans un aéroport... En effet, c'est en jouant (de manière tout à fait qualitative bien sûr) au piano proposé en libre service que je rencontre une jeune fille qui veut également jouer de cet instrument. Je lui laisse donc ma place et elle commence à jouer des chansons de Beethoven, de Mozart et une version de "Comptine d'un autre été, l'après-midi" qui me laisse sans voix. Elle est norvégienne (mais parle très bien français heureusement pour nous) et nous sympathisons juste le temps avant qu'elle ne s'envole vers Oslo (presque en même temps que moi) Cet instant passé, nous devons embarquer dans l'avion qui nous emmène chez   nous. Cette fois-ci, cela se passe bien mieux qu'à Munich et nous avons largement le temps pour être dans l'avion. Retour à Bordeaux sans encombres donc... mais pas tant que ça finalement. En effet, une fois le pied posé sur la terre ferme de l'aéroport de Mérignac, nous devons attendre pas moins d'une heure avant de pouvoir récupérer nos valises à cause de contrôles. Et cela a une lourde conséquence sur nous, groupe de Pauillac-Lesparre : nous ne pourrons pas prendre le train à cause de ce retard (nous allons apprendre plus tard que nos camarades villeneuvois ont eu la même mésaventure). Parmi nous 4, seul Anthony avait déjà prévu de rentrer chez lui en voiture donc c'est seul avec Lilou et Anaïs que je dois rester à l'aéroport jusqu'à l'arrivée de mes parents. Le temps d'attente est estimé à 1h30 de mon côté mais fort heureusement, les parents de Lilou se proposent de nous ramener nous 3. Soulagé, je préviens mes parents et l'endroit où ces derniers doivent me récupérer. Après une heure de trajet sur la rocade bordelaise puis la D1215, nous arrivons à Castelnau. Je prends le temps de bien remercier les parents de Lilou et je monte enfin dans la voiture de mes parents, fatigué après ce voyage qui aura été trépidant du début jusqu'à la fin. Avec la sensation du bonheur inachevé et l'envie de remettre ça très vite mais la sensation du bonheur, avant tout.

mercredi 15 septembre 2021

EURO 2021 - Bientôt ils partent à Munich - 1ère recontre visuel des jeunes de Bordeaux et Munich

 Article en ligne : http://www.aqui.fr/societes/des-jeunes-s-engagent-pour-l-europe-a-bordeaux-et-a-munich,21213.html

Société | Des jeunes s'engagent pour l'Europe à Bordeaux et à Munich

17/06/2021 | Un groupe de dix élèves français s'est réuni au Goethe Institut à Bordeaux pour rencontrer et échanger virtuellement avec des élèves allemands.

C’est à l’occasion du match qui opposait la France et l'Allemagne le 15 juin à Munich dans le cadre de l'Euro 2021, qu’un groupe de jeunes de l'Académie de Bordeaux a rencontré un groupe de jeunes du centre d'éducation extra-scolaire « Lernen mit Kick » de Munich. Réunis au Goethe Institut de Bordeaux, pour une rencontre virtuelle en semi-distanciel, des élèves issus d'établissements de Pauillac et de Villeneuve-sur-Lot et des élèves de Traunstein, en Bavière, rassemblés au même moment à l'Institut Français de Munich, ont pris part à un atelier européen autour des thèmes du sport et de la mémoire, mais aussi du sentiment d’être européen. À la suite de ces échanges, les jeunes européens ont assisté ensemble au match Allemagne-France.

Cette initiative, menée par l’Office franco-allemand pour la Jeunesse (OFAJ), l’association Rue de la Mémoire en France et l’association Lernort Stadion en Allemagne, marque le début d'un vaste projet franco-allemand dans le domaine extra-scolaire, projet qui a pour ambition de s’inscrire dans la durée. « Notre mission est d’amener des jeunes, qui n’iraient pas spontanément en Allemagne, à s’intéresser à l’Allemagne dans sa globalité. L’idée est surtout de provoquer de la curiosité », explique Agnès Pruvost, responsable du secteur scolaire à l’Office franco-allemand pour la Jeunesse.
Ce jour, le travail s’axait sur les thèmes du sport et de la mémoire. Comme support de réflexion, une bande dessinée « Ossi, une vie pour le football » consacrée à la vie du footballeur Oscar Rohr, joueur entre autres, du Bayern Munich et Racing Club de Strasbourg dans les années 1930 et qui a été persécuté par les Nazis. Son histoire éclaire l'histoire du IIIe Reich depuis la perspective du football. Ce projet associe le sentiment d’identité, d’appartenance à une Europe pacifique, diverse et forte au sport, pratique fédératrice et universelle.

Échanger autour d'intêrets communs

Dix élèves, cinq jeunes filles et cinq jeunes garçons, des lycées de Villeneuve-sur-lot et de Pauillac ont été sélectionnés grâce à un concours de rédaction libre, sur ces mêmes thèmes d’appartenance et d’identité européenne notamment au travers du sport et plus précisément du football. La rencontre devait initialement se dérouler à Munich, mais contexte sanitaire oblige, le voyage a été repoussé en octobre et la rencontre déplacée au Goethe Institut à Bordeaux et à l'Institut Français de Munich. Les élèves, malgré le contexte, semblaient ravis de participer à de tels échanges. « Dès que l’on m’a proposé ce projet, ça a vraiment été une évidence d’y participer. Tous les thèmes qui me passionnent étaient réunis, à savoir le foot, l’Allemagne et l’Histoire », s’enthousiasme Pierrick, élève en classe de seconde. « Bien sûr, j’étais déçu que le voyage ne se fasse qu’en octobre, mais la rencontre virtuelle compense un peu. J’ai vraiment hâte d’échanger et de comparer les points de vues. »
La curiosité était donc bien au rendez-vous et le séjour à Bordeaux semblait combler un peu la déception du voyage repoussé. « En plus, nous avons une chambre d’hôtel par personne », relève amusé Mathias, un autre élève présent. 

Et ce n’est qu'un début : dans le cadre de ce projet, d’autres rencontres auront lieu, ainsi que des ateliers et des formations en France et en Allemagne, au cours desquelles le travail de mémoire s'appuiera sur l'intérêt pour le football professionnel.
Gernot Rohr, entraîneur de renommée internationale et ancien joueur du Bayern Munich et des Girondins de Bordeaux, mais aussi petit-neveu d'Oscar Rohr, parraine ce vaste projet.

Par Margaux Renaut   Crédit Photo : Aqui.fr







 

mardi 6 avril 2021

Videokonferenzen mit unseren Austauschschülern am "Otfried Preußler Gymnasium" in Pullach im Isartal


 

Les lycéen.ne.s d'Odilon Redon:

 
Nos journaux locaux nous suivent. Merci!!
     Lauréats du concours "Cré 'Aktiv"     
Visio-conférences avec nos correspondant.e.s à Pullach





 
 

 

La cérémonie de remise de prix du concours "Cré'aktiv"
a eu lieu le 4 mai 2021 à 14h30
en présence du Rectorat de Bordeaux, le CRIJNA, l'OFAJ, l'Institut Goethe,
La Consule générale de Bordeaux, la Maison de l'Europe Bordeaux Aquitaine, notre Proviseure-Ajointe
et bien sûr les lauréats et même nos partenaires de Pullach!


 

Nous étions particulièrement touchés par les compliments de Madame La Maire de Pullach, Frau Tausendfreund pour son attention particulière à nos échanges créatifs!


Concours Cré 'Aktiv 2021
à l'occasion de la journée de l'amitié franco-allemande
 
 
 l'Office franco-allemande de la jeunesse (OFAJ), le Goethe-Institut Bordeaux (GI), 
le Rectorat de l’académie de Bordeaux, le Consulat général d’Allemagne à Bordeaux,
 le Centre d’Information Europe Direct Bordeaux Aquitaine (CIED labellisés par la Commission Européenne),
le Centre Régional Information Jeunesse Nouvelle Aquitaine (CRIJNA)
 et la Maison de l’Europe Bordeaux Aquitaine (MEBA)
 ont lancé le défi aux collégien.ne.s et lycéen.ne.s du 1 décembre 2020 au 22 janvier 2021:


Concevoir une planche de bande dessinée, format A3, sur le thème de l’amitié franco-allemande!
 
L'écriture du scénario et des textes pour les cartouches et bulles,
la création artistique des planches: 
le tout a été créé dans un temps record, sous les conditions sanitaires actuelles, à savoir en demi-groupe, en inter-cycle dans notre lycée et en coopération avec notre lycée parténaire en Allemagne "das Otfried Preußler Gymnasium in Pullach im Isartal" (OPG) :


Scénario et textes: Les germanistes de la 1ère G à Pauillac, création artistique: Alyson Bastard
 
Scénario et textes: Les germanistes de la 1ère G à Pauillac,
création artistique: Manon Sartrand et Flavie Saint-Pé (Seconde)
Nos remerciements également à M. Fabrice Barbe, l'association culturelle "LA SCAPA" à Castelnau-de-Médoc
 


Scénario et textes: Les germanistes de la 1ère G à Lesparre, création artistique: Ethan Poitreau et Mattéo Bernard
(supplément d'Anne-Chloé Epée Bokambé et Vahé Dehbashi, Seconde)

Les lycéens au coeur de l’amitié franco-allemande

« Communication », « interaction entre pairs », « ouverture d’esprit » sont quelques mots-clés pour parler de l’importance des échanges scol...