vendredi 14 octobre 2022

Les lycéens au coeur de l’amitié franco-allemande

« Communication », « interaction entre pairs », « ouverture d’esprit » sont quelques mots-clés pour parler de l’importance des échanges scolaires. Ces rencontres physiques et palpables avec des jeunes citoyens européens, issus de milieux souvent très opposés peuvent apporter des amitiés et souvenirs mémorables.


Après les nombreuses déceptions liées à la situation pandémique, une semaine au Médoc pour les lycéen.ne.s de Pullach im Isartal, dans l’agglomération de Munich pendant le « joli mois de mai » européen a été un véritable épanouissement et un moment de bonheur.

La dune du Pilat, le port ostréicole de Biganos, Arcachon avec une visite en ville et sur la plage pendant une période de températures estivales ont été appréciés par nos amis allemands. 

                   

Evidemment, une visite de la capitale girondine avec ses quais, son miroir d’eau, sa rue piétonne « Saint Catherine » et le« Bassin de lumières », aujourd’hui un musée digital d’art contemporain hors-norme, faisaient également partie du programme concocté pour nos lycéen.ne.s allemand.e.s, sans oublier les plages médocaines. 

Des sorties en toute liberté, sans masques ni distance – et enfin réunis !

                                                             

Effectivement, les élèves du Lycée Odilon Redon à Pauillac et Lesparre et les élèves du lycée «OPG, Otfried Preußler Gymnasium » à Pullach se « connaissaient » déjà grâce aux réseaux sociaux depuis l’automne dernier, comme nous avions tout organisé pour un voyage début décembre à Munich pour déguster l’ambiance chaleureuse sur les marchés de Noël et chez les familles d’accueil pendant la saison hivernale, tout près des Alpes.

Nous connaissons tous la dégradation exponentielle et dramatique de la situation sanitaire liée au Covid-19, particulièrement à Munich : 48 h avant le départ, nous étions contraints d’annuler le voyage, ce voyage qui devait pourtant marquer la reprise de nos échanges franco-allemands !

Pour cette reprise nous avons fait faire, grâce aux subventions post-covid de l’OFAJ, des sweat-shirts à capuche d’une belle qualité avec un logo « jumelé » entre les deux logos de nos lycées, créé par un lycéen germaniste passionné.

Ce groupe de germanistes particulièrement impliqué dans les actions et concours que l’OFAJ et l’Institut Goethe proposent : Cré’Aktiv (lauréat du 1er prix lycée en 2021), EURO 2021 « Une vie pour le foot », concours d’écriture pour le 100ème anniversaire de SOPHIE SCHOLL (lauréat du 3ème prix national). De nombreux élèves avaient candidaté pour le programme d’échange individuel « Nouvelle Aquitaine - Hessen », sans jamais pouvoir partir à cause de la pandémie.

C’est pourquoi, cette annulation fut une énorme déception pour les élèves et leurs équipes pédagogiques des deux côtés du Rhin. De nombreux colis pour se consoler avec les pulls et autres cadeaux ont fait le chemin à notre place.

Notre dernier voyage à Pullach im Isartal date de décembre 2019 et une vingtaine de lycéen.ne.s en classes de Terminale et Première ont savouré pendant 10 jours cette période interculturellement forte en Allemagne avec des visites de l’Université Ludwig Maximillian au coeur de la ville de Munich avec son mémorial pour Sophie Scholl et son groupe de résistance contre la dictature du National-socialisme «La rose blanche », l’Olympiaparc avec son musée BMW, ainsi qu’une visite d’un labor pharmaceutique pour attirer l’attention des jeunes français.e.s aux possibilités qu’offre la vie professionnelle en Allemagne.

L’accueil en Mai 2022 conclut alors un premier « cycle » de nouveaux échanges entre les communes de Pauillac et Pullach. Ces derniers ont lieu depuis déjà plus de 50 ans : les comités de jumelage Pauillac-Pullac mettent, en effet, tout en œuvre pour offrir aux jeunes des deux communes la possibilité d’une mobilité internationale.

Comme nous tous, les jeunes élèves et les membres du comité de jumelage ont particulièrement souffert depuis l’irruption de la pandémie en mars 2020. 

Alors, en ce mois de mai 2022, nous avons réussi à créer une forte cohésion pour un moment phare : En ce troisième weekend de mai, le comité de jumelage et le Maire de Pauillac, Monsieur Fatin accueillaient sur les quais, la Maire de Pullach, Madame Tausendfreund, ainsi qu’une délégation intergénérationnelle de 65 personnes dont le comité de jumelage de Pullach avec leur représentants Madame Lilo Weigl-Heider et Monsieur Nikolaus Rausch, des fanfares bavaroise et médoca…] ine. Ce «Maifest » a été organisé par le comité de jumelage pauillacais qui est très actif grâce à l’implication infatigable de Madame Yannick Brel, Monsieur Jean-Luc Berard et bien sûr Monsieur Michel Bergez.

C’est M. Bergez, professeur d’allemand à l’époque, qui a initié avec son homologue allemand en 1982, l’appariement entre le lycée Odilon Redon au Médoc et l’OPG, Otfried Preußler Gymnasium à Pullach. Ils le désignaient comme une « extension naturelle » du jumelage déjà existant entre Pauillac et Pullach depuis 1964.

Notre accueil des lycéen.e.s s’est organisé sur cette semaine pour permettre des rencontres supplémentaires, et les lycéen.ne.s ont bien joué le jeu malgré des épreuves orales du bac juste après la semaine de l’accueil.

Tout le monde, les lycéen.ne.s avec l’équipe pédagogique des deux côtés du Rhin, les parents d’élèves, les directions d’établissement, Madame Robin et Monsieur Fischbach, ainsi que et le comité de jumelage ont été d’accord : les rencontres entre pairs peuvent permettre de tisser des liens d’amitié et parvenir à un respect mutuel grâce à une meilleur connaissance du partenaire, du pays et de sa culture et bien sûr de sa langue.

Cette nouvelle expérience de mobilité internationale fut enrichissante et symbolique à la fois !








 

Mai 2022: Endlich lernen wir uns wirklich kennen! Besuch unserer deutschen Austauschschüler in Frankreich


 



Partnerschulen seit 1983: Lycée Odilon Redon, Médoc - Otfried Preußler Gymnasium, Pullach im Isartal


 

5 Monate in Frankreich! Von August 2021 bis Januar 2022

 



 Hallo zusammen,

mein Name ist Sophia Saad und ich bin sechzehn Jahre alt. Im vergangenen Jahr verbrachte ich sechs Monate in Frankreich und möchte ich im folgenden Eintrag ein wenig darüber berichten.

Vom Aachener Bahnhof fuhren meine Mutter und ich Ende August nach Paris, wo wir drei Tage miteinander verbrachten, bevor ich mich in eine Zug nach Bordeaux setzte und mein Abenteuer begann. Am Bahnhof wurde ich mit offenen Armen von meiner Gastschwester Anna, meinen Gasteltern und Frau Minkenberg, die mir bei der Suche meiner Gastfamilie eine große Hilfe war empfangen. Ich fühlte mich sofort wohl und wusste direkt, dass sich diese Menschen zu meiner Familie entwickeln würden, Auf der Autofahrt zu unserem Haus in Listrac-Médoc konnte ich es kaum erwarten alles zum ersten Mal zu sehen. Ich war begeistert von meinem Zimmer, dem schönen Haus und dem großen Garten und Pool.
Bis zum Schulstart blieb mir noch eine Woche, welche ich zusammen mit Anna in vollen Zügen genießen konnte. Wir gingen zusammen in Bordeaux auf der bekannten Rue St. Catherine shoppen, nach Lacanau an den Strand und verbrachten Tage am Pool mit Annas Freundinnen, die mir dauerhaft das Gefühl gaben dazu zugehören.
Die Nacht vor meinem ersten Schultag konnte ich vor Aufregung kaum schlafen, weil ich so nervös vor dem mir Bevorstehenden war. Wie sich später bewies gab es dafür keinen Grund. Sowohl meine Klassenkameraden, als auch meine Lehrer hießen mich vom ersten Moment an willkommen und unterstützen mich in jeder Situation. Anfangs hatte ich Angst Fehler auf Französisch zu machen oder Wörter falsch auszusprechen. Schnell lernte ich, dass es allen Franzosen egal war, wenn ich Fehler machte oder einen Akzent hatte. Im Gegenteil, denn sie halfen mir dabei meine Sprachkenntnisse um einiges zu verbessern.
So doof das auch klingen mag bin ich gerne zur Schule gegangen und bin dankbar für jede einzelne Person, die ich kennenlernen durfte. Freitags nach der Schule durfte ich sogar noch mit Anna und ihren Freunden an der Theater-AG teilnehmen, die mir eine große Hilfe war aus meiner Comfortzone zu kommen und selbstbewusster Französisch zu sprechen. Trotzdem waren die Wochenenden für mich das Schönste. Ich war bei Annas Reitstunden und feuerte sie bei Turnieren an, welche sie stets mit Bravur bestritt. Oft ging ich auch mit Freunden nach Bordeaux und hatte dadurch meine persönlichen Reiseführer an meiner Seite. Wir gingen in Restaurants mit leckerem Essen, sahen uns Kunstausstellungen an oder fuhren Hand in Hand über die Schlittschuhbahn. Ich habe mich total in Bordeaux verliebt und könnte mir sogar vorstellen mal dort zu studieren.
Eine andere Stadt zog mich jedoch ebenfalls in ihren Bann. Während den Herbstferien verbrachten Anna, meine Gastmutter und ich wundervolle Tage in Paris. Das absolute Highlight für mich war, als wir am Abend an den Eifelturm gingen dessen Licht ganz Paris erstrahlen ließ.
Ein weiteres coole Ereignis war mein sechzehnter Geburtstag. Meine Freunde veranstalteten in der Pause eine kleine Feier und ich hatte meinen eigenen Kuchen mit Kerze darauf. Abends kochte mir meine Gastmutter, die übrigens eine bezaubernde Köchin ist noch mein Lieblingsessen und wir ließen den Tag gemeinsam als Familie ausklingen.

Ich bin sehr dankbar eine so nette Gastfamilie gehabt zu haben, welche sich in aller Hinsicht hin bemüht hat mir die schönste Zeit zu bieten. Des Weiteren weiß ich jede neue Freundschaft, die ich geschlossen habe zu schätzen und bin fest davon überzeugt, dass sie ein Leben lang bestehen werden.

Ich kann jedem nur ans Herz legen auch einen Auslandsaufenthalt, vielleicht sogar in Frankreich anzutreten, denn es ist eine wundervolle und einzigartige Erfahrung, welche man niemals vergisst.

    

              


jeudi 17 février 2022

Concours: 3° prix national décroché! Bravo à nos lycéen.ne.s!

                                         Parmi 108 productions françaises,

       un de nos groupes a décroché le 3° prix!

Toutes nos félicitations!! 

Vos productions sont maintenant publiés sur les sites:
 
 
et sur 
 

Les récompenses de l'Institut Goethe Paris sont arrivées!  



                                          


Toutes nos félicitations à tou.te.s les participant.e.s

                   et particulièrement aux lauréat.e.s: 

Morgane CAMPAS, Nora COMMET, Chloé EVAN, 

Mathilde MESPLET, Swan GENOT, Emma RIGAUD, 

Anna STRAUS, Oscar THEUERKAUFF et Mathilde TORRES 

(T5, T7 au Lycée Odilon Redon à Pauillac)

              

         MERCI à Flavie SAINT-Pé & Manon SARTRAND (1.7)

pour leur accompagnement artistique avec le magnifique portrait de Sophie Scholl réalisé par Manon et l’illustration de la fuite de l’Allemagne vers la Suisse, terrain neutre pendant la 2° Guerre Mondiale, de ce groupe de jeunes résistants « La rose blanche» dessiné à l’aquarelle par Flavie.

Les ateliers d’écriture ont été activement soutenus par Mme. Chauvin, documentaliste et Mme. Vera, enseignante en lettres modernes. MERCI  à elles!

mercredi 19 janvier 2022

Concours d''écriture à l'occasion du 100ème anniversaire de Sophie Scholl "Die weiße Rose"

 

CONCOURS d’écriture – Institut Goethe Paris
       à l’occasion du 100ième anniversaire de
Sophie Scholl (1921-1943)
“La Rose Blanche”

groupe de jeunes résistants allemands contre le nazisme

 Les germanistes en Terminale au Lycée Odilon Redon à Pauillac & Lesparre ont relevé le défi lancé par l’Institut Goethe Paris dans toute la France, en Espagne et en Belgique:

 -         Écrire une histoire en imaginant que le groupe de jeunes résistants allemands n’ait pas été arrêté par le régime totalitaire des Nazis

-         Écrire un dialogue en imaginant être parmi ces étudiants allemands qui planifient leur résistance contre le régime totalitaire

                Les expositions aux CDIs de Pauillac & Lesparre sont ouvertes!

           L’Institut Goethe envoie des livres et d’autres cadeaux aux lauréat.e.s

Le récit lauréat imagine Sophie, alors devenue professeure de philosophie engagée dans les mouvements protestataires des années 1968 contre les guerres. Elle raconte son périple pendant la 2° Guerre Mondiale et sa complicité avec son frère Hans et les autres membres du groupe d’étudiants résistant «La rose blanche ».
Le récit imagine aussi que leur professeur de philosophie de l’époque, Kurt Huber, se sacrifie et distrait le Gestapo pour permettre aux jeunes de fuir. Ces idées ont particulièrement plu au jury du concours.

 “Die weiße Rose-La Rose Blanche”, symbole de paix

Les étudiants en médicine et philosophie
Sophie et Hans Scholl, Willi Graf, Alexander Schmorell et Christoph Probst

ont créé le groupe de résistance « La rose blanche » en juin 1942 à l’Université Ludwig-Maximillian à Munich. Ils écrivent avec le soutien de leur professeur de philosophie,  Kurt Huber  des tracts pour dénoncer les atrocités du régime hitlérien. Ils ont montré un courage civique hors norme. Lors de la distribution de leur 6ème tracte en février 1943 ils ont été trahis, livrés à la Gestapo et condamnés à mort.

Pendant notre voyage à Munich nous avions prévu de visiter le mémorial « La rose blanche » à l’Université Ludwig-Maximillian https://www.gedenkstaetten-bw.de/sophie-scholl       


ü    1.Aufgabe (geschichtlich und kreativ)

Stell dir vor, Sophie und Hans Scholl wären 1943 nicht verhaftet und ermordet worden. Erfinde und schreibe die Geschichte der Geschwister Scholl bis zum Ende des 2. Weltkrieges…

 Teilnehmer:innen des Gymnasiums « LGT Odilon Redon Pauillac » (33) :

Morgane CAMPAS, Nora COMMET, Chloé EVAN, Mathilde MESPLET, Swan GENOT, Emma RIGAUD, Anna STRAUS,Oscar THEUERKAUFF und Mathilde TORRES

          3.885 mit Leerzeichen, im Präteritum

      Im Jahre 1968 hielt die Philosophielehrerin Sophie Scholl ihre Vorlesung an der Ludwig-Maximilian-Universität München, wobei ihre Audienz im Hörsaal ihr Fragen bezüglich des studentischen Engagements in der Politik stellten. Daraufhin bot sie ihren Studenten an, ihnen von ihrer persönlichen Geschichte und ihren Erfahrungen zu berichten, um ein Verständnis dafür zu wecken, was es für sie bedeutet, sich als junger Mensch in der Politik zu engagieren.

                So erzählte sie: „Als ich in Ihrem Alter war, gehörte ich einer Gruppe von Studenten an, die sich „Die Weiβe Rose“ nannte. Im Frühjahr 1942 lernte mein Bruder Hans Christoph Probst, Willi Graf und Alexander Schmorell kennen. Ich war die einzige Frau der Gruppe. Zu dieser Zeit begann in Ausschwitz der Massenmord von Juden aus ganz Europa. Da Hans, Willi und Alexander während ihres Kriegsdienstes an der Ostfront die Gräueltaten des NS-Regimes wirklich erlebten und ich damals als Kindergärtnerin geisteskranke Kinder verschwinden sah, wollten wir die deutsche Bevölkerung alarmieren. Hauptsächlich erstellten wir Flugblätter, in denen wir unsere Ideen und Meinung niederschrieben und diese anschließend verbreiteten.

                 Eines Tages, als mein Bruder und ich gerade dabei waren, die Flugblätter hier an der Ludwig-Maximilian-Universität zu verteilen, entdeckte uns ein Hausmeister und denunzierte uns augenblicklich bei der Gestapo.

                Unser damaliger Philosophielehrer, Professor Kurt Huber, hatte uns bereits öfters in der Vergangenheit unterstützt, wodurch er jedoch auch mit uns in Verbindung gebracht wurde. Aus der Not heraus trafen wir die Entscheidung, gemeinsam und so schnell wie möglich ins Ausland zu fliehen. Nachdem wir die Nacht im Haus eines Freundes verbracht hatten, bereiteten wir uns darauf vor, eine lange Reise anzutreten.

                 Unser Ziel war es, die Schweiz zu erreichen.

Aufgrund der Tatsache, dass wir die Flucht Hals über Kopfangetreten hatten, waren wir unvorbereitet auf das, was uns erwartete. Wir trugen nichts bei uns und obendrein herrschte eiskalter Winter.

                Doch die mit Abstand größte Bedrohung war die Gestapo, die uns überall suchte. Die Gestapo war die „Geheime Staatspolizei“ während der deutschen NS-Diktatur im Zweiten Weltkrieg. Glücklicherweise wurde uns von einigen Einwohnern geholfen, indem Sie uns Unterschlupf oder Nahrung boten. Als wir an der Grenze ankamen, hat sich das Schlimmste, was uns hätte passieren können, wirklich ereignet, denn wir wurden von einer Patrouille entdeckt und verfolgt. Um uns junge Studenten zu retten, opferte sich Herr Professor Huber, unser Philosophielehrer und versuchte die Patrouille abzulenken. Zuerst hörten wir Stimmen. Dann einen Schuss. Danach nur noch Stille.

                Wir schauten uns an und realisierten etwas. Zum ersten Mal seit Beginn unserer Flucht wurde es uns wieder deutlich. Wir erinnerten uns daran, weshalb wir überhaupt mit dem Verfassen der Flugblätter angefangen hatten: Es war das Streben und der Wunsch nach Freiheit, Gerechtigkeit und Frieden.

                 Nachdem nur wenige Sekunden vergangen waren, beeilten wir uns, um sofort die Schweizer Grenze zu überqueren. Die Schweiz blieb während des Zweiten Weltkrieges neutral und wurde im Unterschied zu anderen Nachbarstaaten Deutschlands nicht von der deutschen Wehrmacht angegriffen und besetzt. Deshalb waren wir dort zunächst sicher.

                Anschließend halfen wir Juden, die uns unterwegs begegneten und versuchten somit Vorbilder zu sein, die den Weg zu einer freieren, gerechteren und friedlicheren Zukunft schaffen.

                Ich habe nie aufgehört anderen zu helfen. Und wenn ich heute vor Ihnen stehe, dann ist es zu Ehren und in Gedenken an meinen ehemaligen Philosophielehrer, Herr Professor Kurt Huber. Ich ermutige auch Sie dazu, sich für gerechte Zwecke zu engagieren.

Ich kann Ihnen mit voller Überzeugung versichern, dass Sie stolz darauf sein werden.

„Denn auch Sie können die Welt zu einem besseren Ort machen! “

Teilnehmer:innen des Gymnasiums « LGT Odilon Redon Pauillac » (33):  

Diana NELL PALACIOS, Alyson BASTARD, Thomas BATBY, Tiago GENET, Baptiste CAILLAT, Maël RICOIS, Léo MACE, Quentin GALLET, Paul-Audouin DROUET, Alexy DAUBRESSE

       4.832 mit Leerzeichen, Im Präteritum

Wir werden die Geschichten von Emma, ihrem Bruder Lukas und der Widerstandsgruppe « Die Weiße Rose » begleiten. Nach ihrer Begegnung und während ihrer zahlreichen Aktionen werden wir herausfinden, wie diese jungen Menschen es geschafft haben, dem Nazi-Regime entgegenzutreten.

                Im Mai 1942 kamen mein Bruder Lukas und ich aus Österreich in Deutschland an. Wir besuchten die Ludwig-Maximilian-Universität in München. Wir trafen Sophie Scholl und ihren Freundeskreis, mit denen wir die gleichen politischen Ideen teilten. Wir wurden Freunde und integrierten die studentische Widerstandsgruppe “die weiße Rose” mit meinem Bruder. 
                In den folgenden Monaten trafen wir uns oft und bereiteten Flugblätter vor, in denen wir von der wirklichen Situation des deutschen Volkes im 3. Reich sprachen. Sophie und ich verteilten unsere Texte in München und in anderen süddeutschen Städten. Unsere Gruppe wollte die Universität und die Bevölkerung über die Schrecken des Krieges informierte. 

                Wie diskutierten oft über die Situation in Stalingrad. Unsere nächste Aktion war, Flugblätter an der Universität zu verteilen. Sophie verteilte unsere Rollen: 
                Hans, Sophie, Lukas und ich gingen morgens zur Universität. Wir verteilten die Flugblätter im Lichthof. Viele Studenten fingen an, über unsere Ideen zu sprechen.  Dann war unsere nächste Aktion die Erstellung einer anonymen Zeitung an der Universität.
 -Eine Person der Gruppe schrieb verschiedene Aufrufe / Artikel / Berichte für die Zeitung 

 -Eine andere Person der Gruppe beantwortete oder schrieb Kommentare / Bewertungen  

 -Eine weitere Person der Gruppe stellte Fragen an die Leser:innen

                Danach verteilte Sophie unsere Rollen für weitere Flugblätter: Hans musste die Briefumschläge kaufen, Christoph kümmerte sich um die Briefmarken, Alexander suchte nach einer Möglichkeit, die Broschüren zu drucken, Willi suchte nach anderen Freiwilligen, die uns beim Drucken und Verteilen helfen konnten. Schließlich sollten Lukas und ich darauf achten, dass wir nicht verfolgt wurden oder dass uns jemand verletzen wollte.

                In unserer anonymen Zeitung konnte jeder seine Ideen und Gedanken aufschreiben. “Wenn wir dieses System eingerichtet haben, mehrere Flugblätter und Zeitungen an die Bevölkerung verteilt haben, werden wir sehen, ob viele Menschen die gleichen Ideen wie wir haben”, dachten wir. 
                Nachdem jeder seine Rolle erhalten hatte, machten wir uns alle an die Arbeit, die uns zugewiesen worden war. Lukas und ich waren diejenigen, die die Sicherheit der Gruppe überwachen und gewährleisten mussten. Wir haben sehr auf das kleinste Detail um uns herum geachtet. Ich war stolz, dass Sophie uns so schnell ihr Vertrauen geschenkt hatte.

                Hans, Sophie, mein Bruder und ich gingen morgens früh an die Universität und verteilten dort die Flugblätter. Viele Studenten fingen an, über unsere Ideen zu sprechen… 
               Am 4. April 1943 brachte Sophie uns zusammen, um den Briefversand in mehreren Städten des Deutschen Reiches zu organisieren. Dazu mussten wir uns in kleine Zweiergruppen aufteilen. Sophie nannte die Gruppen: Alexander und Hans fuhren mit dem Zug nach Ulm, Christoph und Willi nach Augsburg, Lucas und Herr Huber in Nürnberg, Sophie und ich blieben in München. Unsere Aktionen waren sehr gefährlich. Das wussten wir.

Dieser Moment allein mit Sophie erlaubte mir, mit ihr zu sprechen:
Emma:   “Sophie?”
Sophie:   “Ja?”
Emma:    “Ich fürchte, dass die Operation nicht gut verlaufen wird. Wenn wir erwischt werden, müssen wir im Gefängnis sterben? “
Sophie:   “Du musst keine Angst haben.  Zum Wohle der Menschheit tun wir das alles. Es geht so nicht weiter!”

                Am 10 April wurden Flugblätter entdeckt. Im Radio wurde davon berichtet und die Gestapo suchte nach den Tätern. Aber Sophie war ganz fröhlich.
Viel Unzufriedenheit gegen Hitler begann sich zu regen. Dank der Aufklärung der Weißen Rose. 

Sophie: “Es ist ein großartiger Einsatz, den wir gewinnen werden!”

               Nach diesem Ereignis sahen wir viele andere Widerstandsgruppen wie unsere auftauchen. Wir waren in Kontakt mit Menschen aus der ganzen Welt! Mein Bruder und ich fühlten sich uns damals als sehr wichtige Menschen. Außerdem konnten wir bei all diesen Abenteuern unsere Widerstandsgruppe “die Weiße Rose” als unsere zweite Familie betrachten.

                Wir machten unsere Aktionen weiter, um an Popularität zu gewinnen.


Die Alliierten griffen Deutschland im Juni 1944 an. Es war Zeit zu handeln: wir organisierten eine Revolution! Die Rote Armee im Osten und die Amerikaner vom Westen kamen immer näher. Am 8. August waren wir mehr als zwanzigtausend Menschen vor dem deutschen Reichstag. Wir wussten, dass es gefährlich war. Aber es war notwendig, Hitler zu bekämpfen. Gemeinsam mit den Alliierten konnten wir gewinnen. Die NS-Diktatur wurde von unserer Revolution überrollt. Bedauerlicherweise verloren wir Lukas, Hans und Willi. Aber wir haben gewonnen!

 

Teilnehmer:innen des Gymnasiums « LGT Odilon Redon Lesparre » (33) :

Emma ARNAUD, Célia TRAININI, Justine REAL,
Mattéo BERNARD, Arthur COLIN, Sullivan LEFEVRE

5.137 mit Leerzeichen, Im Präsenz 

            Die Verteilung des sechsten Flugblatts der studentischen Widerstandsgruppe „Die weiße Rose“ ist abgeschlossen.

                Die Gruppe trifft sich zum Verfassen des siebten Flugblatts mit Alexander Schmorell und Willi Graf, Hans' Kriegskameraden, die bereits zuvor beim Verfassen der ersten Flugblätter geholfen hatten.  Trotz dieses letzten Flugblatts hat sich die Situation immer noch nicht verbessert. Es ist daher notwendig, die Dinge endlich in Bewegung zu bringen.

                Nach dem Attentatversuch auf Adolf Hitler am 20. Juli 1944 durch den Grafen von Stauffenberg misslang, beschließt die Widerstandsgruppe, sich noch weiter auf andere Städte in Deutschland und Österreich auszudehnen, um noch mehr Flugblätter zu verteilen und so zu versuchen, möglichst viele Menschen zu überzeugen. Sie expandieren bis nach Nürnberg, nördlich von München. Dadurch hofft die Studentengruppe, den Nationalsozialismus zu besiegen und die Denkweise der Menschen zu ändern, um Leben zu retten.

                 Sophie und Hans fahren nach Nürnberg, um mit den neuen Mitgliedern zu sprechen. Sie wollen sie besser integrieren und ihnen erklären, was die Gruppe vorhat. Auf diese Weise lernt Hans Edith kennen. Sie ist eine junge Frau, die die gleiche Meinung über die Situation hat. Eine Jüdin, die versucht, in Gruppen gegen den Nationalsozialismus einzutreten, um ihre eigenen Leute zu retten. Sie kommt aus München und hat versucht, aus dieser Stadt zu fliehen und ist nach Norden in die Stadt Nürnberg marschiert, wo sie Hans trifft. Bis heute haben sie es geschafft, drei weitere Gruppen zu bilden, eine große Gruppe in der Stadt Nürnberg, eine weitere, leider noch bescheidene Gruppe in der Stadt Berlin. Und in einer Stadt, die süd-östlich von Nürnberg liegt, in Regensburg, ist eine Gruppe in Gründung, "Die grüne Hoffnung", die immer mehr Mitglieder hat! Sie überzeugen also eine größere Anzahl von Menschen durch ihre Ausbreitung in mehreren Städten. Dank der Gleichgesinnten in den anderen mit Deutschland verbündeten Nationen gelingt es ihnen, mit ihren Flugblättern mehrere Länder zu erreichen. Sie haben Beziehungen zu Buchhändlern aufgebaut, die es ihnen ermöglichen, die Flugblätter zu übersetzen.

                 Bei ihren Treffen vereinbaren sie einen bestimmten Tag, an dem sie die Flugblätter verteilen wollen. Nachdem sie mehrere Tage lang an dem Flugblatt geschrieben haben, planen sie in den kommenden Nächten, die Flugblätter zu verteilen. Wie bei jedem Flugblatt verstauen sie diese minutiös in einem Gitarrenkoffer, um leichter durch die Kontrollen der Nazis zu kommen.

                In jeder Stadt haben die Mitglieder der Gruppe die Aufgabe, die Plakate an einem Tag zur selben Zeit zu verteilen. Leider lief dies bei einem Mitglied der Berliner Gruppe nicht wie geplant. Er wurde daher von den Nazis wegen Hochverrats verhaftet. Die Anderen machten trotzdem weiter, die Plakate in den anderen Städten zu verteilen.

                 Erst am nächsten Tag erfahren sie, dass einer von ihnen verhaftet wurde und dass es leider 99 Tage dauern wird, bis der Prozess stattfindet. Während dieser ganzen Zeit machen sich die anderen Mitglieder Sorgen um die Zukunft ihres Freundes. Während sie auf den Prozess warten, bleiben die anderen weiterhin aktiv, aber mit viel mehr Achtsamkeit. Endlich fällt das Ergebnis des Prozesses, aber Julius wird zum Tode verurteilt, da er zum Feind der NS-Ideologie erklärt wird.

Zu Ehren ihres Freundes versammeln sich alle Mitglieder, um eine weiße Rose an seinem Grab niederzulegen. Dieses Ereignis ermutigt sie, noch mehr für die Überzeugung von Julius und für alle anderen Opfer zu kämpfen.

                Die Mitglieder reagieren sofort und beginnen mit dem Schreiben des 8. Flugblattes. Dies sollte glücklicherweise das Letzte sein, da es ihnen jetzt gelungen war, dem Nationalsozialismus ein Ende zu setzen! Ein Aufstand der Bevölkerung zwang Adolf Hitler zur Abdankung!

Die Nazi-Ideologie war damit beendet und alle Menschen konnten ihre Rechte und Freiheiten wieder genießen. Ihre Handlungen waren nicht umsonst, da sie dazu beitrugen, ihr Ziel zu erreichen.

                Hans und Sophie schaffen es, den Krieg zu überleben und beschließen, ein neues Leben zu beginnen, jeder für sich. Der Krieg endet mit der Niederlage der Nazi-Ideologie. Jedes Mitglied der Widerstandsgruppe führt jetzt sein eigenes Leben, setzt sich aber weiterhin für die Freiheit ein. Niemand muss sich mehr verstecken, um zu überleben. Die Diktatur ist beendet!

                Was ist nun wirklich aus Hans und Sophie geworden? Hans hat Edith einen Heiratsantrag gemacht und übt seinen Traumberuf aus: Er ist Schriftsteller. Er hat beschlossen, ein Buch über die Geschichte der „Weiβen Rose" zu schreiben, um auch zukünftige Generationen aufzuklären. In seinen Werken ehrt er die Figuren von Widerstandskämpfern und Widerstandskämpferinnen. Ich werde Ihnen etwas verraten: Das Buch von Hans wird in Kürze erscheinen. Sophie hat Staatsexamen absolviert und ist Geschichtslehrerin geworden. Dieser Beruf passt perfekt zu ihr.

Manchmal, wenn Hans und Sophie sich treffen und vor der Ludwig-Maximilian-Universität spazieren gehen, sind sie sehr gerührt, wenn sie die Statue sehen, die die Stadt München zu Ehren ihrer Heldentaten errichtet hat.

 

Ein Dialog mit Sophie und Hans Scholl.


Teilnehmer:innen des Gymnasiums « LGT Odilon Redon Lesparre » (33) :

Oriane DEJEANS, Anaëlle DUPORT, Valéria Vigneau, Mehdy DEMAILLY, Lucien SCHLÜTER, Ethan POITREAU, Luka DUFAUX, Loggan DUMONT 

         5.423 mit Leerzeichen, Im Präteritum 

    Es ist der 10. Februar 1943 an der Ludwig-Maximilian-Universität in München. Thomas von Rundstedt, ein Jugendfreund von Hans Scholl, wechselt die Universität und schließt sich seinem Jugendfreund an, den er seit fast acht Jahren nicht mehr gesehen hat. Alles beginnt damit, dass Hans in der Cafeteria der Universität einer Person begegnet, die ihm bekannt vorkommt. Später erkennen sich Hans und Thomas wieder und beginnen ein Gespräch.

Hans:      Thomas? Bist du es?
Thomas: Ja, ich heiße Thomas. Warum?
Hans:      Erinnerst du dich nicht mehr an mich? Wir waren in der Schule zusammen, vor
ungefähr acht Jahren. Wir waren ziemlich gute Freunde.

Thomas: Entschuldigung ich hatte dich nicht wieder erkannt. Ich erinnere mich jetzt an dich.

                Du hast dich körperlich sehr verändert, das ist sicherlich der Grund. Wie geht es dir denn?
Hans:      Ja, es geht schon, ich bin ein wenig größer geworden. Wie du siehst, habe ich eine große Universität integriert, also mir kann es nur gut gehen und ich habe meinen alten Freund wieder gefunden also geht es mir noch besser. Und wie geht’s dir so?
Thomas: Seit wir uns getrennt haben, bin ich zweimal umgezogen. Ich war auf einer Hochschule, wo das Niveau sehr niedrig war, also der Unterricht war für mein Niveau zu niedrig, also habe ich mich entschieden, an einer renommierten Universität zu studieren. Und hier bin ich!

Hans:      Oh, das ist doch cool, dass du irgendwas gefunden hast, das zu dir passt. Ich freue mich, dass wir uns endlich mal wiedersehen. Ich habe vor kurzem an dich gedacht, ich habe mich an meine Kindheit erinnert und an die schönen Zeiten, die ich hatte.
Thomas: Oh ja, ich auch. Seit einiger Zeit sind alle ziemlich angespannt, denn es herrscht Druck wegen der Gefahr eines Kriegsausbruchs. Es tut gut, sich wieder zu treffen!

                Nach einigen Gesprächen beginnen Hans und Thomas einige Diskussionen, vor allem über den Hintergrund der Situation in Deutschland und der Hitlerjugend.
Sie sprechen viel über die Schlacht von Stalingrad, die zwischen dem 17. Juli 1942 und dem 3. Februar 1943 viele Kämpfe und Todesopfer mit sich brachte.

Thomas: Ich weiß, dass nicht viele Menschen über Spannungen sprechen, weil man es möglichst vermeidet, Ärger zu bekommen. Aber du weißt, dass ich fast nicht gehen konnte, weil ich in der Schlacht um Stalingrad am 20. Dezember 1942 war.
Hans:      Du hast Glück gehabt, dass du gehen konntest, denn zwischen dem 17. März und dem 31. Dezember 1942 begannen die Massendeportationen im Rahmen der Operation Reinhard. Das muss hart für dich und deine Eltern gewesen sein...

                Thomas bemerkte ein leichtes Stirnrunzeln, als er Hans sagte, dass sein Onkel in der Nazi-Armee gewesen war, aber er beachtete es nicht weiter. Am selben Abend auf dem Heimweg erklärt Hans Sophie, dass Thomas einen Onkel hat, der in der Nazi-Armee ist, aber er sei eine Vertrauensperson und sie könnten ihm vertrauen und mit ihm über das 6. Flugblatt sprechen.

Hans spricht mit Sophie.

Hans:      Ich habe einen Freund aus meiner Kindheit wiedergefunden, erinnerst du dich an Thomas? Er hat es geschafft, trotz der Situation umzuziehen, und zwar dank seines Onkels. Ich denke, wir können ihm vertrauen und ich denke, er wäre nützlich, um uns beim Verteilen der Flugblätter zu helfen.

Sophie:   Ja, natürlich, wie könnte ich ihn vergessen, er war großartig. Es ist ein bisschen verdächtig, dass sein Onkel ihm so leicht helfen konnte, aber gut für ihn, morgen werden wir drei ein Gespräch beginnen und ich hoffe, dass er uns helfen kann.

 Also treffen sich Sophie Hans und Thomas am 13. Februar in einem Park, um miteinander zu reden und sich auszutauschen.

Um ihre Freundschaft wieder aufleben zu lassen, beschließt Thomas, sich mit Sophie und Hans im Englischen Garten in München zu treffen. Sie treffen sich am 13. Februar 1943.

Thomas: Es ist schön, euch wiederzusehen, Freunde! Wie geht es euch?
Hans:      Super, uns geht es sehr gut. Wir haben uns schon beim letzten Mal gefreut, dich wiederzusehen.
Sophie:   Aber überhaupt, warum hast du uns hergebeten?
Thomas: Eigentlich wollte ich wissen, wie weit ihr mit euren Plänen seid?
Hans:      Wir sind mit der Vorbereitung unseres sechsten Flugblattes fertig geworden, es sollte einen gewissen Einfluss haben.
Thomas: Ah, das ist eine gute Sache, wann wollt ihr es verteilen?
Sophie:   Ich wusste nicht, dass du so engagiert bist. Würdest du uns dabei helfen?
Thomas: Ja, ich will etwas verändern. Das freie Deutschland braucht uns!
Hans:      Hervorragend! Wir treffen uns am 18. Februar auf dem Balkon im ersten Stock der Ludwig-Maximilians-Universität.
Thomas: Ihr könnt euch auf mich verlassen!

                Am Morgen des 18. Februar 1943 treffen sie sich wie vereinbart.
Sophie:   Habt ihr die Neuigkeit erfahren?
Thomas: Nein, welche denn? Thomas: Es passiert gerade so viel.
Sophie:    Joseph Goebbels wird heute im Berliner Sportpalast eine Rede halten. Sie werden sehen, dass er die Bevölkerung wieder für diesen ungerechten Krieg mobilisieren wird.

Thomas: Deshalb müssen wir die Flugblätter schnell verteilen, damit die Jugendlichen sehr schnell reagieren.
Hans:      Wir wollen keine Zeit verlieren, Sophie und ich bleiben in diesem Stockwerk und du, Thomas, gehst in die Halle.
Thomas: Okay, viel Glück für euch, wir treffen uns in zehn Minuten.

                Nachdem Thomas den Hausmeister gesehen hat, geht er die Treppe wieder hoch. Er ist nicht allein. Einige SS-Männer begleiten ihn...

 

 

 

   

Mein Auslandsaufenthalt von Januar - April 2024

  Ich bin Lisa, 16 Jahre alt und stamme aus München, wo ich zwar in einem ruhigen Viertel lebe, aber es trotzdem nicht weit bis in die Stadt...